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29 mars 2012 4 29 /03 /mars /2012 13:59

verdict : pas de lièvre de Dürer à l'expo "beauté animale" mais une très belle copie d'un de ses élèves, et une gravure de rhinocéroce.

 

visite intéressante avec une guide fort érudite et sympathique, j'ai appris que le dindon était à la renaissance utilisé comme animal d'ornement, un peu comme les paons... sauf que bon, le dindon c'est laid, quand même !

 

on a eu en cadeau un beau-gros catalogue !

 

et hop, une image qui m'a bien plue (je suis pas certaine de l'accord, là, d'un coup)

 

Combat-de-chats-GOYA.jpg

combat de chats (Goya)

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27 mars 2012 2 27 /03 /mars /2012 09:11

je triche un peu parce que la photo date de l'an dernier

mais j'en ai vu au bord de la route hier

et je les trouves sympathiques

 

2011-03-22-038.jpg

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25 mars 2012 7 25 /03 /mars /2012 19:33

au réveillon j'étais chez des amis de longue date, très longue, j'ai pas tellement plus long en fait...

enfin bref, il y avait là bas un drôle de couteau avec une lame arrondie, qui s'est révélé super top pour éplucher je sais plus quoi d'ailleurs, mais top...

peut être des pommes ? je crois que c'était pour faire une salade de fruits

bref

on m'a dit que c'était un couteau à légumes

 

hier je suis allée au centre commercial d'à côté pour acheter une lime à ongles en verre (c'est bien mais c'est... fragile), cette fois j'en ai pris une avec un bout orange, pour changer de celle d'avant qui était rose

 

au centre commercial il y a aussi un magasin de trucs de cuisine, je me suis souvenue du fameux couteau, j'en ai trouvé un.

"couteau à fruits" qu'ils disent !

je ne l'ai pas encore essayé mais j'ai hâte !!!

 

sinon j'ai aussi trouvé un ticheurte et un pantalon

 

et cet aprèm le programme a été balade à Paris

c'est marrant ces premiers jours de beau temps où les gens s'habillent déjà en été, sous prétexte qu'il y a un rayon de soleil, ceux là se promènent en short et sandales, ou encore en hiver, sous prétexte qu'on est encore en mars, et qui ont encore un manteau sur le dos... ça fait des rues un peu bariolées...

(je me souviens qu'un 28 mars, je me suis baignée à Pornic !)

 

un pasteis de Nata plus tard (2 euros pièce chez "comme à Lisbonne", rue du roi de sicile, à paris),

un café plus tard,

une balade plus tard

je fais un peu de ménage.

 

IMG_0054.JPG

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24 mars 2012 6 24 /03 /mars /2012 17:44

j'ai été hier à l'opéra

j'étais fort bien accompagnée

nous avons été magnifiquement bien placés même si nous étions un peu loin

 

je ne connaissais pas l'histoire

c'est violent

les décors modernes, les costumes itou

ça ne m'a pas gênée

le thème était drôlement actuel

le pouvoir, l'argent, le sexe, le mensonge

 

c'était très beau !

(même si tannhäuser reste pour moi le must... cet avis m'est tout à fait personnel)

 

IMG_0053.JPG

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22 mars 2012 4 22 /03 /mars /2012 21:55

et hier, quand un collègue m'a demandé, j'ai dit "oui, je nage"

 

 

      avant

IMG_0044.JPG

      juste avant

IMG 0048

       après

IMG_0049.JPG

 

ce soir, mes pieds et moi, on a nagé 2 kilomètres...

 

sinon, hier soir j'ai terminé mon livre "Parle-leur de batailles, de rois et d'éléphants", la couverture est chouette, l'édition (Acte Sud) est jolie, et l'ensemble se lit bien, même si Michel-Ange ne m'est plutôt pas très sympathique.

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21 mars 2012 3 21 /03 /mars /2012 21:01

... je demande parce que ce soir au monope ils avaient mis des maillots de bain partout...

quand même c'est un peu tôt je trouve ?

 

sinon, j'ai pensé ce soir à une photo que j'aime bien et que j'avais prise il y a un moment, quelques années quoi, une fin d'après midi au parc André Citroën (je sais pas pourquoi, je trouve toujours ça beau les trémas).

 

et puis en cherchant, il y en a trois, plutôt qu'une

alors je les mets, je les trouve gaies ces photos.

 

(je remercie les lecteurs-photographes de ce papier d'être indulgents...)

(... oui, j'ai parfois des lecteurs-photographes !!)

 

 

 IMGP5034.JPG        IMGP5038.jpg 

 

 

IMGP5037.JPG

 

au parc André Citroën, il y a deux grandes serres

entre les serres, il y a un parvis en pente

sur la pente, il y a des trous,

et quand c'est l'heure, il y a des jets d'eau qui sortent des trous... 

il y avait, en plus, à ce moment là des sortes de grandes fleurs en métal, sans doute pour faire beau

et aussi des trucs très colorés, je ne sais pas ce que c'était.

 

j'aime bien ce parc

je me souviens que je lisais Les Misérables, tranquille, et que les jets d'eau s'étaient mis en marche,

et que les enfant s'en étaient donné à coeur joie

que les parents avaient un peu couiné quand les petits ont eu mouillé leur pantalon,

et qu'ils avaient fini par les laisser laisser aller, en slip et ravis !

 

je me souviens que la fin des Misérables c'est pas marrant, que j'arrivais vers la fin,

que ça me plaisait bien ces gosses qui jouaient pas loin, ça donnait quelque choe de moins pesant, d'un peu rassurant

je me souviens que j'avais bien aimé ce moment.

 

 

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20 mars 2012 2 20 /03 /mars /2012 13:57

... ça donne des réunions à rallonge, mais ça n'a peut être rien à voir, en fait !

 

... ça donne pas de dessin ce soir mais un porte monnaie soulagé (une robe, des claquettes, des barettes), mais les deux n'onrt rien à voir...

 

et ça donne du soleil par la fenêtre du bureau !

 

ça n'a rien à voir non plus, mais j'ai enfin changé l'eau d'Olga et Igor, qui sont bien contents de ce changement (je crois)

 

sinon je lis "parle-leur de batailles, de rois et d'éléphants", et peut être que j'en recopierai quelques morceaux quand j'aurais fini

(j'ai oublié d'en parler, mais la "confession inachevée" de Marylin Monroe, ça m'a bien plu, c'est à la fois naïf et lucide, parfois cruel, un truc inattendu à mon avis de non-connaisseuse de la star)

 

pour finir, une image que je trouve extraordinaire et que je verrai peut être un jour (sera-t-elle exposée bientôt au Grand Palais ?)

 

durer_young_hare.png

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18 mars 2012 7 18 /03 /mars /2012 21:36

ce weekend j'ai terminé ce livre, j'ai beaucoup aimé,

en voilà quelques morceaux

 

chapitre XII

Le lendemain Goldmund ne put se décider à aller à l’atelier ; il erra dans la ville comme il avait fait maintes fois en des journées maussades. Il regarda les femmes et les servantes se rendant au marché et resta surtout près de la fontaine du marché aux poissons, les yeux fixés sur les poissonniers et leurs épouses mal embouchées qui offraient et vendaient leur marchandise, sortaient des baquets les poissons frais et argentés. Les poissons, la bouche douloureusement ouverte, leurs yeux d’or anxieux et fixes, s’abandonnaient avec résignation à la mort ou se débattaient contre elle avec fureur et désespoir. Comme il était arrivé maintes fois déjà il fut pris de pitié pour ces animaux et pris de dégout à l’égard des hommes ; pourquoi étaient-ils si insensibles et brutaux, si immensément bêtes et stupides ; pourquoi ne voyaient-ils rien, tous, les poissonniers et les poissonnières, et les clients qui marchandaient, pourquoi ne voyaient-ils pas ces bouches, ces yeux dans l’angoisse de mort, ces queues frappant furieusement autour d’elles, cette affreuse et inutile lutte désespérée, cette transformation intolérable des animaux mystérieux, merveilleusement beaux, le léger frisson de la mort passant sur leur peau agonisante avant qu’ils soient là, allongés, morts et éteints, lamentables morceaux de viande destinés à la table des mangeurs réjouis ? Ils ne voyaient rien, ces hommes, ils ne savaient rien et ne s’apercevaient de rien, rien ne leur parlait. Peu leur importait qu’une pauvre bête crevât sous leurs yeux ou qu’un maître rendît sensible à vous en donner le frisson toute l’espérance, toute la noblesse, toute la douleur, toute l’obscure et poignante angoisse étouffante de la vie humaine ; ils ne voyaient rien, rien ne les touchait.

 

chapitre XV

Il se rendit sur le marché aux poissons ; c’est là qu’il avait autrefois sa chambre. Près de la fontaine, quelques poissonniers offraient leur marchandise vivante. Il regarda les beaux animaux nager dans les cuves. Il était souvent resté ainsi autrefois à les observer et il lui vint à l’esprit qu’il avait alors souvent eu pitié d’eux et se mettait en fureur contre les poissonniers et leurs clients. Jadis, il s’en souvenait, il s’était promené là, admirant et plaignant les poissons et il s’était senti triste ; bien des jours s’étaient écoulés depuis lors et beaucoup d’eau était passée dans le fleuve. Il avait été bien désolé, il en gardait encore le souvenir, mais la cause de son affliction, il ne la savait plus. C’était ainsi, les impressions tristes passaient comme les autres, la douleur, le désespoir passaient comme la joie, ils s’atténuaient, pâlissaient, perdaient leur profondeur et leur prix et, à la fin, un jour venait où on ne pouvait plus retrouver ce que c’était qui vous avait fait jadis tant de peine. Les douleurs, elles aussi, s’effeuillaient et se fanaient. Sa souffrance d’aujourd’hui se fanerait-elle également ? serait-elle un jour chose vaine, son amertume de ce que le maître n’était plus, avait quitté la vie furieux contre lui ? de ce qu’aucun atelier ne s’ouvrît plus à lui pour qu’il pût jouir de la volupté de créer et décharger son âme du fardeau de toutes ces images ? Oui, bien sûr, il passerait aussi, ce chagrin, cette amère détresse ne serait plus, un jour, qu’un vieux souvenir en train de s’effacer ; il l’oublierait. Rien n’était stable, pas même la douleur.

 

chapitre XVII

Et pourtant, toute notre vie n’avait un sens que si on parvenait à mener à la foi ces deux existences, que si elle n’était pas brisée par ce dilemme : créer sans payer cette création du prix de sa vie ! vivre sans pour cela renoncer au noble destin du créateur ! était-ce donc impossible ?

Peut-être existait-il des époux et des pères de famille à qui la fidélité ne faisait pas perdre le sens de la volupté. Peut-être y avait-il des sédentaires dont le cœur ne se desséchait pas faute de liberté et de danger. Il se pouvait. Il n’en avait vu aucun.

 

chapitre XVIII

Fut-ce un heureux hasard, ou l’expérience des âmes de l’abbé allait-elle si loin ? cette confession et cette pénitence marquèrent pour Goldmund le début d’une période de fécondité et de paix qui le rendit heureux. Au milieu de son travail plein de tension, de soucis et de joies, il se trouva grâce à ces exercices spirituels, accomplis sans peine, mais avec conscience chaque matin et chaque soir, soulagé des agitations de la journée. Tout son être fut transporté dans un ordre supérieur où il échappait au dangereux isolement du créateur, se trouvait admis, comme l’enfant, dans le royaume de Dieu. S’il lui fallait inévitablement soutenir dans la solitude la lutte pour son œuvre et lui donner toute la passion de ses sens et de son âme, l’heure de la prière le ramenait néanmoins toujours à l’innocence. Pendant le travail il était souvent tout fumant de fureur et d’impatience ou bien ravi dans l’extase de la volupté, mais les exercices de piété le plongeaient comme dans une eau fraîche et profonde qui le lavait de l’orgueil de l’enthousiasme comme de l’orgueil du désespoir.

 

gustav-klimt-le-sang-du-poisson-publie-dans-le-magazine-ver.jpg

le sang du poisson - G.Klimt (1898)

 

 


 

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17 mars 2012 6 17 /03 /mars /2012 21:33

dans la série des choses sympas, chouettes ou un peu drôles qui me sont arrivées ces jours-ci :

 

- ne pas mettre de chaussettes dans mes chaussures, ça fait "le printemps revient"

 - manger indien

 - retrouver un vieux crayon, constater qu'il est rouillé, le jeter, le récupérer, gratter la rouille et me rendre compte qu'en fait il est en alu, que donc la rouille s'en va si on gratte doucement

 - recevoir le programme du cours de dessin, constater qu'il n'y a pas cours le 24 avril et me dire que ça tombe bien

 - entendre une dame dire "il y a même des gens qui viennent de banlieue", sur le même ton ébahi que si la banlieue c'était au pôle nord (et là je me suis dit que j'étais pas une vaie bobo !)

 - recevoir un livre que j'ai commandé avec des images dedans

 - recevoir ma carte d'élécteur (il me reste à faire mon choix maintenant !)

 - faire (j'espère) une heureuse avec le coupon "-20%" pour aller chez séphora

 

IMG_0024.JPG

 

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16 mars 2012 5 16 /03 /mars /2012 11:36

hier c'était jeudi

jeudi c'est piscine

 

je n'y avais pas mis les nageoires depuis un bon moment

la semaine dernière c'était SHAG et la semaine d'avant c'était les vacances des enfants, et celle d'encore avant aussi

quand c'est les vacances la piscine change ses horaires (mais pas moi)

bref, ça faisait un moment que je n'avais pas enfilé mes tongues et mon maillot, et mes palmes (mais sans les tongues, enfin vous voyez quoi).

 

et je suis bien contente, parce que 32 longueurs pour une reprise c'est plutôt bien

 

entendu au bord du bassin "ouais,.... ouais, je vais rester encore une petite heure, comme ça j'aurais fait 5000".... (et dans ma tête je pose la division : 5000 m divisé par 50 m par longueur, ça fait 100 longueurs... quand même)

 

et puis ça n'a rien à voir mais mardi, chez Harry (non, pas l'ami qui vous veut du bien, Harry le prof de dessin) il y avait des fleurs (des alstromer, mais je ne sais pas trop comment ça s'écrit), et comme les fleurs c'est périssable, j'ai dessiné des fleurs...

et je n'ai toujours pas terminé ma patte d'ours...

mais du coup j'ai essayé mes pastels secs,

c'est beau !

c'est vif !

c'est pas très facile mais en fin de séance je me débrouillais un peu mieux

 

à nouveau un grand merci à Antoine !

 

photo.JPG

 

sinon, il fait bien beau depuis le début de la semaine, mais le weekend s'annonce gris et frais ici,

demain je remets des chaussettes !

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en passant

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